L’omniprésence de l’eau, c’est le souvenir majeur que nous gardons de la Norvège.
Bondissante dans les nombreux torrents et cascades, paisible dans les lacs et fjords aux multiples tons de bleu et vert, scintillante à travers les champs de linaigrettes, figée dans les glaciers blancs bleutés, l’eau est présente partout.
Partis d’Île-de-France pour 7 semaines, nous avons choisi le trajet permettant les traversées en ferries les plus brèves et ne nécessitant pas de réservation. Nous avons longé la côte est de la Suède, traversé la Laponie suédoise pour entrer en Norvège au nord de Narvik. Depuis les îles Vestéralen, nous avons descendu la Norvège jusqu’à Christiansand.
Une puissante envie de soleil en janvier + une promo de tour-opérator et nous voici embarqués pour les Canaries.
Fuerteventura, comme plusieurs autres îles, est bétonnée sur une grande partie des côtes mais en janvier on trouve des plages désertes et à l’intérieur ce sont des paysages désertiques parsemés de cônes volcaniques peu élevés et de petits villages blancs
Tenerife, l’île du printemps éternel.
Pour nous c’est avant tout, en hiver, la chaleur la plus proche de Paris.
Contrairement à une opinion fort répandue, le temps peut être sec au Pays de Galles. Partis pour 3 semaines, nous n’avons eu que 2 matinées partielles de bruine plus la montée au Snowdon dans la brume. Le reste du temps, nuages et soleil et températures de 20 à 25°.
Les paysages sont très proches de ceux de l’Irlande et de l’Écosse mais les touristes peu nombreux. Nous avons beaucoup apprécié les contacts avec les Gallois.